14 mars 2010

J'aurai toujours un doute. 2/2

J'en étais où avant de devoir interrompre le blog à cause des bêtises de mon frère ?
Ah oui, Clément me tripotait le téton, je l'aidais à faire les bons mouvements pour me faire gémir et je sentais son zizi tout dur qui se collait contre ma raie des fesses.

Soudain j'ai eu envie d'arracher ma nuisette, ce qu'en dépit de mon état d'ébriété avancé j'ai fait avec une classe incomparable, (heureusement qu'on était dans la pénombre, j'ai arraché une bretelle... mais je ne crois pas qu'il l'ait remarqué) et j'ai frotté mon épilation américaine contre lui (c'était un petit coeur cette fois) pendant que nos torses se collaient et que nos lèvres se soudaient l'une à l'autre. Il avait même pas les lèvres sèches, et j'ai carrément regretté de ne jamais lui avoir roulé de pelle avant. D'ailleurs puisque ses doigts avaient fait leur devoir sur mes tétons et se dirigeaient maintenant dans une zone carrément plus humide, j'ai attrapé ses bouclettes brunes, je l'ai poussé vers le bas et j'ai vérifié si le bout de sa langue jouait aussi bien avec mes tétons qu'avec mes lèvres.

J'ai joui.

Ça lui a détrempé les doigts et il a profité de la lubrification inattendue pour m'en glisser une paire dans les fesses. Comment dire, moi, quand on me fait ça, je deviens folle.
J'ai voulu l'insulter pour oser me faire un tel effet, mais tout ce que j'ai pu faire c'est gémir, me renverser sur lui, et laisser glisser sa bite en moi.
Il y a eu un moment blanc, pendant que je savourais son entrée lente et sensuelle, et il m'a brutalement serrée contre lui.
- "Framboise..." a-t-il murmuré pendant que nos hanches s'accordaient sur un rythme langoureux
- "Oh Clément... pourquoi on a pas fait ça avant ?"
- "C'est étrange comme vous êtes étroite... han, j'aurais pensé être comme une petite cuillère dans un bol vide. Je croyais que Gab' exagérait mais vous êtes vraiment un bon, oooh coups..."

- "Fermez là et venez plus profond." J'ai murmuré en lui attrapant le lobe de l'oreille entre mes dents et en donnant un coup de hanche inéquivoque. Ses doigts ont pressé mes fesses et il a étouffé un gémissement dans mon cou. Nos corps devenaient humides et sentir mes tétons glisser contre son torse à chaque va et vient me rendait dingue.
Alors que je me sentais décoller et que le rythme se faisait plus pressant, Cl'm a murmuré :
-"Framboise, je vous aime."
J'ai répondu,
-"Oh Clément, moi aussi, moi aussi."
Et on a jouit ensemble, c'était grandiose.
Après je ne sais plus trop entre l'alcool et l'orgasme c'est devenu très vague.
J'ai des souvenirs très vagues, de soupir, de sueur, de déclarations enflammées, de courir à la salle de bain faire un brin de toilette, d'avoir léché tout son corps, mordillé ses chevilles et sucé chacun de ses doigts, d'avoir senti sa langue partout où il était possible de la glisser, nos mains qui s'emmêlent et l'impression d'être follement amoureuse.

Quand je me suis réveillée le lendemain matin, j'étais en nuisette, Cl'm en pyjama dormait à l'autre bout du lit. Un seul regard a suffit pour me dire que vraiment ce type, je le détestais, et ça m'a rassurée. On fait de ces rêves parfois.

Je me suis dirigée vers la salle de bain.
J'ai croisé Calixte dans le couloir, il était tout vaseux lui aussi. Il m'a salué comme ça :
- Il manque une bretelle à ta nuisette Gerboise. 
Ça m'a fait un peu frémir. Mais c'est si fragile ces petites choses là. 

En rentrant dans la chambre, j'ai trouvé Cl'm assis sur le bord du lit qui regardait circonspect une griffe sur son torse. 
-"J'en tenais encore une bonne moi hier, a-t-il soupiré, je vous ai pas entendu vous coucher."
-"C'est pas plus mal, j'ai grogné, j'aurai été dans l'obligation de vous souhaiter une bonne nuit, et ça m'aurait fait mal."

-"Pour ça pas de souci Framboise, vous faites un de ces bordel en dormant, on croirait passer la nuit dans la cage d'une colonie de  femelles bonobos en chaleur. C'est en dormant que vous m'avez réveillé."
- "Vous avez de ces images, je suis peut être bruyante mais je suis très bien épilée, et à part ça vous avez bien dormi ?"
- "Non, j'ai fait un rêve tellement stupide que je me demande s'il n'y avait pas du LSD dans le champagne."

J'ai pas osé demander. 

5 commentaires:

Anonyme a dit…

N'en ayez aucun.
J'ai failli vomir en lisant vos lignes.

Je ne sais vraiment pas lequel de vous ou de votre frère fait défaut en enfer tellement vous êtes calamiteux.

Anonyme a dit…

Croyez-moi, a postériori, j'en ai des nausées.
Mais alors vous avez rêvé de quoi vous cette nuit là ?

Anonyme a dit…

Je ne me souviens que très rarement de mes rêves si j ne les note pas au réveil. Et en vous voyant, au matin, j'avais juste envie de sortir de la pièce.

Et si je vous fais parfois crier dans mes rêves, c'est parce que la tronçonneuse démarre lentement.

Griote a dit…

G un compte gogole nananère !!!

^____^

Anonyme a dit…

C'est cool, chérie, j'adore ton avatar. il est très kawaî :)
T'as bien noté ton mot de passe cette fois ?