22 août 2009

Amalfi, Jour 3. Brève 2.

Je pensais sincèrement qu'il n'y avait rien de pire dans la vie que d'arriver le matin dans la salle de bain et en entrant dans la cabine de douche, d'y piétiner Poupoune, le poil hérissé et toutes dents dehors. L'amalgame de poils et pics sous la plante des pieds, c'est d'un désagréable.

A part peut être se cogner l'orteil sur le coin du tabouret que Griotte a posé devant la porte de sa chambre pour "Eloigner le mauvais oeil" un jour où une vieille l'a regardé bizarre dans le métro. Ca aussi c'est désagréable.

Vraiment genre d'expériences dispensables dont on aimerait qu'elles ne nous tombent pas trop souvent dessus.

En parlant de tomber. Clément vient de trébucher et de s'étaler sur moi.
Par mégarde, ça je l'admet aisément, il ne m'aurait jamais touché "exprès".

Mais quand même.
Il pourrait faire gaffe, je suis la seule ici à n'avoir pas adopté les habitudes naturiste du maître de maison.

Beurk Beurk Beurk...

(Je vais me laver)

2 commentaires:

Anonyme a dit…

Vous avez presque la bave aux lèvres quand vous vous adressez à notre hôte maintenant. Faut pas lui en vouloir ainsi Gab' et lui ont plus d'atomes crochus que d'habitude par période, mais ils finissent toujours par ce calmer.

Et Gabriel reste très sociable, hein. C'est juste vous qui êtes affreusement jalouse.

Mais quand même, tous ces hommes nus... je compatis ^O^

Framboise a dit…

Mais JE NE SUIS PAS JA-LOU-SE !

C'est juste que si l'un ou l'autre acceptais de partager un peux.
Je l'aime bien Arcangelo.
Mais s'il me pique mes compagnons de jeu, il pourrait bien donner un peu de sa personne en échange...

Pfff, z'auriez pas vu Baptiste ? Je vais finir par croire qu'il m'évite.